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Test Nikon D6 : une évolution en douceur pour ce reflex 24x36 professionnel blindé

Note de la rédaction: 5 sur 5RéactivitéUne visée optique qui dépote

Nikon a peaufiné l’autofocus de son D6. Même s’il abrite moins de collimateurs que le D5, il offre une couverture 1,6x plus dense. 105 collimateurs en croix semblent assez maigres au vu de ce que proposent les hybrides, mais force est de constater que ce reflex (testé avec le zoom Très bonne visée optique, moins bonne visée écran.[/media]

Cependant, si Nikon a particulièrement travaillé la visée optique, il a délaissé la visée écran. Là où le [link src="https://www.lesnumeriques.com/reflex-hybride/nikon-d780-p55553/test.html"]Nikon D780, sorti plus tôt en 2020, est meilleur en liveview (le comble pour un reflex), il ne faudra pas compter sur le D6 pour s’affranchir de son viseur optique. Le système autofocus est particulièrement lent lorsque le miroir est remonté. Il n’est guère surprenant que Nikon cherche à maintenir une démarcation entre le monde des reflex et des hybrides, mais peut-être aurait-il fallu moins handicaper ce boîtier.

Une rafale améliorée, mais encore en deçà de la concurrence

Concernant la rafale, le D6 grimpe en théorie à 14 i/s en obturateur mécanique. Ce sont 2 i/s de plus que le D5, mais moins que le Canon 1DX M III et ses 16 i/s avec le même type d’obturateur et qui atteint même 20 i/s en shutter électronique, à l’instar du Sony A9 II. Une caractéristique partagée par les Canon EOS R5 et R6.

Comme vous pouvez le constater, le contrat est presque respecté par le D6, même si nous n’atteignons pas tout à fait 14 i/s.

Comme vous pouvez le constater, le contrat est presque respecté par le D6, même si nous n’atteignons pas tout à fait 14 i/s.

Un dernier point concerne l’enregistrement des données. Étrangement, alors qu'elle s'appuie sur un processeur plus puissant et des ports de cartes CFexpress, la mémoire tampon du D6 est inférieure à 200 images (raw+jpeg), là où le Sony A9 II “encaisse” 320 fichiers et le Canon EOS 1DX M III, 999. Certains estimeront que 200 images, c’est déjà suffisant, mais une telle limitation est surprenante.

Quid de la reconnaissance des yeux via le viseur optique ?

Nikon n’entend pas révolutionner la rafale des reflex sport, mais l’entreprise japonaise frappe fort en étant la première à proposer un suivi des yeux via la visée optique. Cette fonctionnalité est assez bluffante et agit aussi bien que sur hybride. Sur le viseur, elle est symbolisée non pas par un collimateur se fichant autour du globe oculaire, à l'instar des mirrorless, mais par une série de collimateurs tournant autour de l’œil.

Notez les carrés rouges autour de l'œil sur cette image issue de la visionneuse du boîtier.

Notez les carrés rouges autour de l'œil sur cette image issue de la visionneuse du boîtier.

Comme vous pouvez le constater ci-dessous, le suivi autofocus en visée optique est très performant et nous n’avons presque aucun déchet. En liveview, le suivi n’est pas aussi redoutable. En effet, la visée écran est plus lente. Et s’il y a bien une détection des visages, celle de l’œil est absente. Les ingénieurs de Nikon ont dû se dire que pour un utilisateur de D6, la visée optique était plus importante que le reste. Celle-ci regroupe d’ailleurs pas moins de 17 paramétrages différents pour l’autofocus.

Le suivi est presque parfait.

Le suivi est presque parfait.

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